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  • Salut les lecteurs !

    L'année 2024 vient de s'achever dans un déluge de recensions publiées par une équipe plus motivée que jamais, avec pas moins de 1080 critiques postées !! Passé ce record, nous souhaitons à toutes et à tous une très belle nouvelle année et du positif à revendre car le climat actuel général n'est pas des plus rassurants 😞 Janvier est le mois du festival de la BD à Angoulême (FIBD) et nous commenterons la sélection ainsi que les récompenses, même si je dois bien l'avouer, les titres choisis de plus en plus élitistes semblent bien loin de l'image du 9ème art que nous avons 😞 

    Ceci dit, nous voila lancés comme des frelons sur 2025 avec une rentrée littéraire de janvier assez riche. La très attendue suite de Gone with the wind chez Rue de Sèvres, le tome 5 de l'excellente série du Lombard La forêt du temps, un nouvel Aquablue, Jim Bishop vient clôturer son triptyque sur l'enfance avec L'enfantôme, le tome 14 des Cinq terres, un intrigant polar  Islander par Ferrey et Rouge les auteurs du réussi Sangoma, et bien d'autres encore en ce qui concerne le franco-belge !

    Pour ce qui concerne les comics, Gone du prolifique Jock, mais aussi Anzuelo de l'éditeur aux beaux livres 404comics, pendant que Panini continue de nous abreuver d'omnibus avec Immortal Hulk et le dernier concluant le run de Brubaker sur Captain America.

    La déferlante mangas n'est pas prête de s'arrêter, avec plus de 100 titres à sortir en janvier, dont les suites de Frieren, Manchuria ompium squad, Darwin's game, Kaiju n8, Chainsaw man, Boy's abyss, le tome 25 de Bluelock, le 41 de My hero academia, Leviathan deep water tome 5 et tant d'autres... Le point d'orgue sera la prochaine sortie de Gou Tanabe invité d'honneur au FIBD pour ses adaptations somptueuses des écrits de Lovecraft.

    De la BD un brin populaire comme le FIBD l'aime 😉 

  • Salut les lecteurs !

    L'année 2024 vient de s'achever dans un déluge de recensions publiées par une équipe plus motivée que jamais, avec pas moins de 1080 critiques postées !! Passé ce record, nous souhaitons à toutes et à tous une très belle nouvelle année et du positif à revendre car le climat actuel général n'est pas des plus rassurants 😞 Janvier est le mois du festival de la BD à Angoulême (FIBD) et nous commenterons la sélection ainsi que les récompenses, même si je dois bien l'avouer, les titres choisis de plus en plus élitistes semblent bien loin de l'image du 9ème art que nous avons 😞 

    Ceci dit, nous voila lancés comme des frelons sur 2025 avec une rentrée littéraire de janvier assez riche. La très attendue suite de Gone with the wind chez Rue de Sèvres, le tome 5 de l'excellente série du Lombard La forêt du temps, un nouvel Aquablue, Jim Bishop vient clôturer son triptyque sur l'enfance avec L'enfantôme, le tome 14 des Cinq terres, un intrigant polar  Islander par Ferrey et Rouge les auteurs du réussi Sangoma, et bien d'autres encore en ce qui concerne le franco-belge !

    Pour ce qui concerne les comics, Gone du prolifique Jock, mais aussi Anzuelo de l'éditeur aux beaux livres 404comics, pendant que Panini continue de nous abreuver d'omnibus avec Immortal Hulk et le dernier concluant le run de Brubaker sur Captain America.

    La déferlante mangas n'est pas prête de s'arrêter, avec plus de 100 titres à sortir en janvier, dont les suites de Frieren, Manchuria ompium squad, Darwin's game, Kaiju n8, Chainsaw man, Boy's abyss, le tome 25 de Bluelock, le 41 de My hero academia, Leviathan deep water tome 5 et tant d'autres... Le point d'orgue sera la prochaine sortie de Gou Tanabe invité d'honneur au FIBD pour ses adaptations somptueuses des écrits de Lovecraft.

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  • Dernières Critiques

    • Gueule de cuir tome 2 - La veuve
      Note :
      Fiou graphiquement c'est fou j'ai l'impression que c'est encore plus beau ! C'est sûrement une impression je dois bien l'avouer.

      Mais reste que cela est un vrai plus dans une des BDs parmi le haut du panier de Drakoo. Ce tome deux fait au moins aussi bien que le premier. Il a le charme des one shot avec une histoire pseudo-autonome mais nos donne le plaisir d'être quand même une partie d'une histoire plus importante. Une histoire de cape et d'épée avec un léger gout de fantastique qui sort complètement du lot.

      Mais pas que ! Ce tome ajoute un coté politique qui ajoute au bon gout de trahison à une histoire déjà très sympa. Maintenant on ne sait plus qui croire et qui  notre doit gueule de cuir doit suivre.

      Un deuxième tome plein d'énergie et de dynamisme qui nous en met plein les yeux tout en réussissant à préserver un suspens digne des quatre mousquetaire.

      Vivement le dernier
      • 1 réponse
    • Titans tome 3 - Ariane
      Note :
      Déjà le troisième tome pour cette nouvelle saga de l'éditeur Oxymore revisitant la mythologie grecque ! On ne s'ennuie pas une seconde dans cette histoire contée par le frère d'Ariane à Dyonisos. En effet, le récit se déroule sur deux temporalités, le présent dans la cour de Dyonisos et le passé suivant la belle Ariane et sa rencontre déterminante avec Thésée. On connait l'histoire du fameux fil d'Ariane servant au héros grec à sortir du labyrinthe gardé par le minotaure, et bien Olivier Peru se sert de cette "légende" pour en bâtir une autre, à savoir ce qu'est devenue Ariane par la suite. Du comportement de Thésée à son égard, en passant par la naissance de ses deux enfants, son refuge chez elle à Crète, puis le destin tragique de ses enfants victimes d'un mal étrange; d'autant qu'un messager d'Hadès toque à sa porte pour les récupérer suite à une promesse faite par Ariane elle même au Dieu des enfers ! Mystère, mystère pour cette femme décidée à conjurer le sort par tous les moyens, même si elle doit pactiser avec un des titans déchus ! Une fois de plus les dieux côtoient les humains et ces confrontations ne se font pas sans risques. Le suspens est bien entretenu jusqu'à la fin, il sera difficile de cesser la lecture avant 😉 . D'autant que vous pourrez contempler les dessins superbes d'Umberto Giampà qui s'était essayé à la Fantasy sur un tome de la saga Mages ( édition Soleil) et prouve une nouvelle fois son talent d'artiste. La finesse du trait, la multitude de détails ainsi qu'une coloration soignée aux effets lumineux réussis, au service d'une mythologie revisitée avec talent ! On attend une nouvelle confrontation entre une femme et un titan dans le tome 4 avec impatience 🙂 .
      • 0 réponse
    • Machines de guerre - Le Centurion
      Note :
      Le sixième tome de la série sur les chars nous présente le Centurion, une machine de guerre datant de la seconde guerre mondiale mais toujours considérée comme le meilleur char jamais réalisé. On retrouve Jean-Pierre Pécau au scénario nous proposant de suivre l'arrivée de ce char conçu pour combattre les Panthers allemands avec leurs canons destructeurs. Nous sautons les époques et les conflits aux quatre coins du monde où l’on a retrouvé le centurion. Le fil conducteur est le char personnifié pour l’histoire qui enchaine les conflits et combats. Les dessins de Senad Mavric sont de qualité dans un style classique efficace.
      Le pari de tenir une série sur les chars d’assaut n’était pas gagnée d’avance mais Jean-Pierre Pécau réussit à produire des récits de guerre prenant. Une fois de plus, on se laisse prendre dans la lecture de cet album qui dévoile au néophyte les spécificités des différentes machines, leurs points forts et les points faibles. Il en ressort un album agréble qui se termine sur un cahier historique avec des schémas du centurion et les caractéristiques.
      • 0 réponse
    • La Couronne de France tome 2 - De Charles VII à Charles VIII
      Note :
      Après un très bon premier tome, c'est avec plaisir que je découvre cette suite dans ce format luxueux avec des albums double. La première partie revient sur le règne de Charles VII où Jeanne d'Arc jouera un grand rôle durant tout l'épisode. Jean-Pierre Pécau habile avec les scénarios historiques depuis de nombreuses années et séries nous propose un récit épique très prenant. Les lecteurs appréciant les récits historiques seront une fois de plus comblés avec ce deuxième de la couronne de France. Nous pouvons suivre comment le cinquième Valois est couronné roi de France. Les complots et trahisons sont toujours présents au plus proche du pouvoir. En parallèle, on suit les agissements de l'homme en noir qui semble défier le temps en agissant dans l'ombre. La deuxième partie se focalise sur Charles VIII, une vingtaine d'année après la guerre de 100 ans. Le dessinateur Marco Pizi se charge de la première partie de l’album avec des planches très détaillées et convenant parfaitement au genre. Roberto Jorge Viacava dessine la suite dans un style différent mais comme les récits sont complet cela reste fluide. Un cahier historique revient plus en détails sur les personnages abordés dans ce tome 2
      La couronne de France et Civilisations sont des séries historiques très intéressantes dans des formats luxueux pour la plus grande joie des collectionneurs.
       
      • 0 réponse
    • Autopsie tome 2 - Bloody sunday
      Note :
      Second tome de cette nouvelle saga initiée par l'ancien médecin légiste Antoine Tracqui, avec cette fois moins de macabre mais plus de tension ! En effet tout commence par la présentation du protagoniste principal, Paul Wahlberg légiste confirmé mais aussi phallocrate et bien conscient de sa position sociale; un excellent professionnel mais un homme aux qualités humaines douteuses en somme. Ses certitudes vont être mises à rudes épreuves lorsqu'il va se retrouver kidnappé par un parrain local afin de déterminer l'assassin de son fils suite à son autopsie réalisée "in situ" . Précisons que s'il ne trouve pas d'indices probants avec le peu de moyens dont il dispose pour réaliser ces examens post mortem, il sera exécuté sans sommation. La tension est vraiment palpable par rapport au premier tome car l'histoire est plus courte dans le temps, on suit Paul Wahlberg dans la progression de son "enquête" avec tout cet entourage mafieux dissimulant bien ses secrets. La femme fatale au décolleté plongeant est bel et bien présente ainsi qu'une galerie de personnages patibulaires (mais presque). L'histoire est bien tournée, la progression de l'enquête bien gérée par la découverte d'éléments nouveaux liés à l'autopsie et ses diverses analyses complémentaires, mais le finish semble un brin commun et "devinable" pour les habitués de polars. Vous passerez néanmoins un bon moment en admirant le trait fin et précis de Jean Diaz qui en a fini avec la saga Prométhée (édition Soleil) et s'entoure d'un coloriste de talent pour magnifier la ville de Chicago sous son manteau neigeux. Sachez qu'une personne se fait tirer dessus toutes les 3h dans cette ville bordant le lac Michigan, un véritable havre de paix 🙂 !
      • 2 réponses
    • Inlandsis Inlandsis tome 1 - La glace
      Note :
      Je ne savais qu'attendre dee cette double histoire. En effet on vit à une époque ou o oscille entre l'overdose de messages sur le réchauffement climatique, nous autres européens, alors que le reste du monde sombre dans l'autocratie et le nihilisme écologique. Alors un de plus....

      Et bien, figurez-vous que ce n'est pas qu'un de plus.  Déjà, c'est un récit d'anticipation bien pensé, prenant ses bases seulement quelques dizaines d'années après aujourd'hui. Juste une génération plus tard. Une génération qui a grandi dans le monde des fake news et de la décrédibilisation scientifique au profit des beaux parleurs, qu'ils soient religieux ou politiques. Une génération que certains tentent de convaincre et de prévenir que le prie est encore à venir. Et de leur rappeler que le devoir de mémoire reste nécessaire.

      C'est sur cette base, qui sera peut-être trop réaliste pour certains, que nous suivons Marie et les deux auteurs de BD (média devenu marginal car seulement pour riche) qu'elle a envoyé au pole nord pour faire un reportage BD pour convaincre les foules. Mais Marie est une jeune femme qui, depuis un accident, essaye de cacher au monde qu'elle a des troubles de la mémoire immédiate. Elle oublie si elle ne note pas.

      Benjamin Adam nous livre véritablement deux histoires en une seule : Celles de Marie et de sa lutte contre son époque, mais surtout contre sa maladie et son acceptation. Et celles de nos deux auteurs : Celui qui lit et celui qui écrit. Deux auteurs en pleine introspection, plongé dans un hiver polaire qui se réchauffe et ayant beaucoup de temps pour réfléchir.

      Les deux histoires sont passionnantes et se complètent en termes de rythme. En effet si on apprécie le calme et les réflexions de nos auteurs de BD, c'est en partie parce que cela tranche avec le bruit et la vie survitaminée de l'univers de Marie. Les personnages sont attachants et le ton n'est pas trop moralisateur et l'histoire croisée presque stressante pour un premier tome qu'on ne lit pas en une fois, mais que l'on rouvre avec plaisir, chapitre après chapitre.

      Un coup de cœur aussi bien sur le fond que sur la forme.

      Une bien belle réussite dont j'attends la suite avec impatience !
      • 0 réponse
    • Civilisations - Égypte
      Note :
      Après un très bon premier tome sur la civilisation Crète, le second volume de la trilogie des grandes civilisations se penche sur l'Egypte. L'album est dans un grand format avec dos toilé pour plus de 120 planches de bande dessinée. La scénariste France Richemond nous raconte cette civilisation lors d'une période mouvementée avec le passage de la IIIème dynastie. Pour se faire, on va suivre Im-Hotep à l'origine de nombreux monuments et changements. Il se lie d'amitié avec roi Djoser qui établie les bases de l'Egypte. Dans cette série, les auteurs gardent en premier les divinités mais également les astres et leurs pouvoirs de divinations sur les peuples antiques pour prédire l'avenir. Giulia Pellegrini réalise des planches magnifiques dans un style réaliste tout en mélangeant les apparitions de divinités se transformant pour rejoindre les humains. Il ne faut pas oublier le rôle important des dieux aux têtes d'animaux dans l'Egypte ancienne. Les planches sont vivantes avec de nombreux détails ou personnages présents. Les scènes d’action ne sont pas en reste avec les combats alors que les dieux descendent des étoiles avec des trainées lumineuses. 
      L’album se termine sur un cahier historique pour approfondir l’histoire romancée dans la bande dessinée. Il faudra quand même s’accrocher au départ pour bien comprendre les noms et dieux cités en se référant au lexique en fin d'album.
      • 2 réponses
    • L'arpenteur
      Note :
      Designer, illustrateur, artiste, tant de casquettes pour le hollandais Victor Hachmang qui s'essaie aux BD et comics expérimentaux parfois avec grand talent ! Il délivre ici un ovni graphique aux multiples influences. Tout commence par un homme seul s'essayant à la pêche, sa silhouette est décharnée, il est vêtu de haillons, le monde environnant est dévasté, envahi de décombres en tous genres avec un ciel noir chargé d'éclairs menaçants. On va suivre son quotidien, et peu à peu au fil des pages, comprendre comment en est-il arrivé là . Un scénario certes classique mais qui va prendre une tournure onirique lorsque Geo notre héros au nom symbolique (terre en grec) se perd dans les méandres de ses rêves. L'artiste peut exprimer tout son talent graphique avec des pages incroyables où les couleurs disparaissent pour un noir et blanc que le grand Otomo n'aurait pas renié. Il transperce ces mêmes pages d'un rayon fluo orangé, symbole d'une aube naissante et donc d'espoir, tout n'est pas si noir pour ce pauvre hère seul (ou presque 😉 ) dans la décrépitude. Le récit est scindé en quatre saisons, avec chacune sa tonalité de couleurs pour un rendu du plus bel effet. Les écrits de Shakespeare s'insèrent ça et là durant la lecture  et installent un semblant de dialogue entre le dramaturge et Geo en quête de vérité. L'environnement post-apocalyptique est  formidablement bien illustré avec des variations de couleurs incroyables ! Il alterne les styles graphiques selon les ambiances pour un rendu des plus étonnants. Imaginez une architecture dans l'esprit Druillet avec des personnages issus du trait de Otomo, le tout nimbé d'une palette de couleurs allant du noir et blanc au fluo "radioactif" !  Une partition graphique de haute volée qui aurait sa place dans les pages de Metal Hurlant !
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      • 7 réponses
    • Fan Man, l'homme au ventilo
      Note :
      Le duo d'auteurs de la formidable saga RIP (édition Petitàpetit) renouvelle son association pour une adaptation haute en couleurs d'un roman de l'écrivain américain William Kotzwinkle. Connu pour la novélisation du scénario de ET l'extra-terrestre, il nous fait découvrir un personnage iconoclaste et truculent, mesdames et messieurs veuillez accueillir Horse Badorties ! On se demande bien de quelle planète peut-il venir lui aussi ! Tout commence par son réveil dans un appartement, que dis-je, un cloaque que les cadavres de RIP n'auraient pas renié pour leur fin de vie, et le réveil de Horse avec un grand objectif en tête ! Cela commence par trouver ses fringues dans cette déchèterie résidentielle, une rallonge fera l'affaire en guise de ceinture ! Puis c'est la descente dans les rues de New-York en plein été dans les années 70, une ville en effervescence où chaque rencontre est synonyme d'aventures nouvelles. Horse souhaite réunir un max de gens pour sa chorale de l'Amour et ça passe par une cool attitude, un coup de ventilateur portatif pour se rafraîchir et accoster n'importe qui sachant jouer d'un instrument ou de "poulettes" ayant envie de pousser la chansonnette. Ses pérégrinations vont le mener en bien des recoins de la ville-monde et parviendra t'il à ses fins ??

      C'est une oeuvre clivante car elle risque de trouver son public, tout comme elle peut être rejetée pour ce ton décalé (un peu trop?) ainsi qu'un possible agacement des litanies de Horse. Il faut féliciter le travail de traduction du roman, car c'est truffé de mots argotiques et Gaet's a du s'employer pour rendre ce "vocabulaire" un peu plus contemporain. La désinvolture est de mise, une nage à contre-courant des principes et stéréotypes sociétaux, Horse Badorties incarne tout ceci avec une facilité déconcertante. Je pense que cela mérite une seconde lecture après avoir digéré les facéties de ce "mec" dans la jungle urbaine des seventies. D'autant que vous pourrez contempler à nouveau et avec plaisir les planches de Julien Monier qui excelle dans à peu près tout ! Du découpage soigné, aux trognes des protagonistes, les cases fourmillant de détails, tout s'accorde avec des couleurs chaudes comme la braise, permettant à Horse d'allumer ses "calumets" 🙂 . Un véritable travail d'orfèvre !

      Navré pour cette note correcte mais elle correspond à mon état  d'esprit en ayant fini de lire cette aventure délirante. Elle peut évoluer dans les mois à venir car je relirai cette ode à l'oisiveté 😉 .
      • 3 réponses
    • Absolute power tome 1
      Note :
      Et bien çà faisait longtemps que je n'avais pas apprécié un crossover comme celui-ci !

      Déjà chapeau bas à Urban Comics et au travail de recueil effectué. C'est peut-être ce qui m'a procuré ce plaisir de lecture : Cette édition recueil les numéros servant au récit de.... de toutes les séries DC. De green Arrow, à Green Lanterne en passant par les Teen Titans. De façon refleuri et ordonné, les éditeurs d'Urban nous livre les morceaux nécessaires à faire une histoire cohérente et entière. Alors j'entends déjà certains : oui il faudra faire avec les changements de dessins sur les chapitres importés. Mais on a l'habitude et puis, sincèrement, ce n'est pas cher payé au regard d'une histoire dense et chronologique.

      Ce travail est tellement bien fait qu'il couvre un scénario au final assez classique. Une Amanda Waller qui Pete complètement une durite et va au bout de sa guerre anti superpuissant et réussi à les priver de leurs pouvoirs. Rien de forcement très nouveau ci de n'est que, cette fois-ci, il n'y a pas de menace Galactique. La menace est intérieure et la frappe chirurgicale.

      Mis à part ce point de départ peut être un peu trop standard, ce crossover a aussi pour lui la mise à niveau de tous nos personnages. En effet, la suppression des pouvoirs touche tout le monde (ou presque bien sur :p) mais Mark Waid a eu l'intelligence de ne PAS faire en sorte que les héros classiques soient épargnés. Il nous livre un premier tome dense, bien ordonné, mais aussi aisément compréhensible.

      Fini l'époque des run complexe au possible de monsieur Snyder (que j'ai apprecié hein !). Mark Waid fait des crossover "simple" et accessible, mais bien construit.

      De quoi rassembler les fans de tout l'univers DC !
      • 11 réponses
    • Love not dead
      Note :
      Love not dead propose des histoires courtes d'humour tenant sur une ou deux planches avec quatre cases pour trouver sa chute. L'autrice Shyle Zalewski n'est pas à son premier essaie avec déjà plusieurs albums d'humour. Pour ce nouveau tome, les histoires tournent autour de la question de l'amour avec un grand A. Justement Shyle Zalewski essaie de répondre à cette question, en parlant des relations entre amis, en couple ou l'amour dans la vie en général. Toutes les histoires aborderont la thématique sous un angle différent et même la thématique se trouvera évoluée en avançant dans l'histoire. Les dessins sont dans un style très minimaliste qui convient bien au genre.
      Shyle Zalewski se met en scène dans Love not dead en parlant de ses relations amoureuses réussies ou pas du tout avec une touche d'humour suivant les situations racontés. Au final, ce album est un mélange d’humour et récit intimiste.
       
      • 0 réponse
    • Atana et l'oiseau de feu tome 1
      Note :
      La sino-canadienne Vivian Zhou réalise sa première BD sur fond de magie dans un univers que n'aurait pas renié le grand Miyazaki. Tout commence par une course poursuite entre deux femmes, l'une prend son envol avec une élégance rare et sa poursuivante stoppe sa course au pied de la falaise, voyant s'éloigner cette femme ailée avec colère et tristesse. Qui sont-elles ? Car la suite du récit nous fait découvrir Atana, une jeune sirène vivant seule sur une île déserte. Elle fait la rencontre de Ren, une enfant du peuple des oiseaux de feu, qui met fin à son vol non loin de l'île d'Atana. Ensemble, elle partent à la découverte du monde avec chacune un objectif bien précis, Atana désire connaître les raisons de son exil forcé et Ren voulant savoir pourquoi son peuple parcourant l'immensité de l'espace, s'est perdu sur cette planète. Elles vont faire la rencontre de la Reine Sorcière, omnipotente et curieuse de leur venue ainsi que leurs motivations. Sous son apparence douce et accueillante, la Reine semble dissimuler un lourd secret, que nos deux intrépides héroïnes ne vont pas tarder à découvrir.

      C'est une histoire consistante que nous livre Vivan Zhou, elle prend le temps de bien présenter les personnages, s'attarde sur des dialogues riches en révélations, mais surtout, elle propose un monde emplit de mystères ! En effet, il semble peuplé uniquement de femmes, avec trois "castes" représentées par les mages, les sirènes et les oiseaux de feu. Ils tirent leur essence magique de cette planète, mais de quelle planète s'agit-il d'ailleurs ?? Tant d'énigmes auxquelles elle répondra dans le second tome, du moins je l'espère. Un mot sur le style graphique de l'artiste, elle use d'un trait doux et rond, aux fortes influences manga, avec de jolies couleurs chaudes. De la simplicité sur les protagonistes mais un imaginaire détaillé sur les arrières plans et l'architecture déployée. Elle a fait ses premières armes dans l'animation et cela se ressent à travers son découpage dynamique, faisant la part belle au mouvement. Une belle découverte, à partir de 11 ans.
      • 0 réponse
    • Les nébuleuses
      Note :
      La récente collection RamDam de l'éditeur Jungle s'enrichit d'un nouvel opus sur les aléas amoureux de la génération Z. On y suit Camélia et Tom, deux étudiants en plein marasme sentimental. Elle, sort d'une rupture et lui vit dans ses rêves et autres lectures en éprouvant une profonde mélancolie. Camélia est plutôt d'un tempérament vif, elle exploite pleinement son potentiel que ce soit dans le domaine du travail ou dans sa vie privée riche d'amitiés et d'activités. Tom vit encore chez ses parents, il passe du temps avec sa jeune soeur et semble en difficulté avec son père, ingénieur de son état et donc plus scientifique que rêveur. Il trouve une oreille attentive auprès de sa mère et de deux amis avec qui il fait de l'escalade. Sa rencontre avec Camélia va bouleverser sa vie, le temps passant sur leur nouvelle vie de couple, il va se découvrir une asexualité le poussant à retarder leurs ébats voire à les éviter. Commence donc un jeu de séparations, puis reprise du couple, avec de nombreuses discussions pour comprendre et tenter de trouver une solution, les deux protagonistes étant dans une volonté d'acceptation et d'adaptation. Comment tout cela peut bien finir ?? Je découvre cette génération Z avec toujours un grand étonnement, ils rompent avec une facilité déconcertante les codes de cette société patriarcale établie depuis des siècles, avec raison mais en y ajoutant de nouvelles sources d'explorations ! La déconstruction/reconstruction est ici pleinement à l'oeuvre et formidablement mis en lumière par des dialogues clairvoyants, et un scénario équilibré. Les thématiques du consentement, du sexisme, la diversité des orientations sexuelles, sont abordées et s'insèrent parfaitement dans le récit. La partie graphique de Camille Pagni me fait penser au travail de Timothé Le Boucher, un trait simple et rond, suffisant pour exprimer son lot d'émotions à travers le jeu des corps et/ou des regards. Elle alterne les couleurs chaudes et ternes selon les ambiances du moment, c'est une bonne première oeuvre pour ses débuts. De la romance moderne, explorant d'autres modèles de relations amoureuses, la révolution est en marche, d'autant que la génération Alpha leur succède 🙂 
      • 0 réponse
    • Le choeur des sardinières
      Note :
      Il y a tout juste 100 ans, tenait lieu un grand mouvement de grève initié par des femmes ouvrières en Bretagne ! Cette histoire formidablement bien documentée, raconte étapes par étapes le déroulement de cette manifestation en suivant "caméra à l'épaule" ces femmes courageuses. On découvre tout d'abord le quotidien de ces familles bretonne avec des hommes en mer à la pêche et les femmes à l'usine pour trier les sardines, les mettre en conserves etc... Une vie de dur labeur mal rémunéré, qui commence de plus en plus jeune car il faut nourrir le foyer. Sous la pression toujours plus exacerbée des dirigeants pour plus de profits, elles lancent un mouvement de grève qui s'étend vite à toutes les usines avoisinantes. Déterminées comme jamais, elles peuvent bénéficier de l'appui du maire communiste et rêvent de rencontrer le ministre du travail à Paris pour négocier de nouvelles conditions de travail et une meilleure rémunération. En suivant Mona qui hésite de prime abord à se lancer dans cette vague protestataire, les auteurs mettent l'accent sur les difficultés que cela représentait, avec le mari peu enclin à les suivre, les enfants coincés dans cette tempête agitative rêvant eux aussi à de meilleurs futurs, mais aussi le quotidien avec les difficultés pour se nourrir car qui dit grève, dit absence de salaire et le temps passe... Le patois local jalonne les discussions afin de mieux immerger le lecteur et l'aquarelle de Max Lewko est du plus bel effet sur les paysages. Le dessin peine un peu sur les protagonistes avec des visages ronds assez similaires qui ne sont pas toujours identifiables dans des cases fournies, nombreuses car décrivant les manifestations et les cortèges. Il utilise des couleurs froides et pâles comme pour signifier la dureté de la vie au bord de l'océan qui donne du travail mais prend aussi parfois la vie des pêcheurs. Des annexes enrichissent le récit en fin d'album avec un glossaire pour le dialecte breton employé à de multiples reprises. Une belle lecture pour un combat de femmes qui ne pouvaient toujours pas aller voter mais pour qui l'émancipation était à ses prémices ! Il leur faudra attendre 20 ans pour avoir le droit d'aller dans les bureaux de votes 😞 . "C'est la lutte finale..."
      • 0 réponse
    • Gone
      Note :
      Plus besoin de présenter Jock, tant le travail de ce dessinateur est remarque sur de nombreuses séries, d'ailleurs il est très facile de reconnaitre son style graphique. Aujourd'hui, Jock revient en auteur complet avec l'écriture de ce one shot mélangeant action et science-fiction à bord d'un énorme vaisseau spatiale. On suit le parcours d'une adolescente prisonnier dans ce vaisseau alors qu'elle recherchait à voler de la nourriture avant son voyage de plusieurs années à l'autre bout de la galaxie. Elle se retrouvera en compagnie d'un groupe de saboteurs opérant sur le quotidien des riches voyageurs alternent phase de sommeil pour ne pas vieillir pendant que l'équipage travaille au bon fonctionnement de l'appareil.  
      La partie graphique est une fois de plus remarquable avec des couleurs très sombres pour accompagner ce récit dans les profondeurs d'un vaisseau. L'album se termine sur de nombreuses illustrations et couvertures alternatives dont Jock à l'habitude de réaliser. A noter qu'une version édition Pulp's Comics est disponible avec une couverture différente pour les collectionneurs. Lee Loughridge seconde Jock pour les couleurs et la palette graphique.
      Avec Gone, on ne s'ennuie pas avec le superflue et les questionnements de la jeune héroïne. La lecture de Gone est légère et sans prise de tête.
      • 3 réponses
    • Sur les traces des archéologues
      Note :
      A la lecture de cette enquête archéologique, Indiana Jones vous semblera bien loin ! Ici, point de héros seul contre tous avec un X marquant l'emplacement d'un trésor. Séverine Laliberté nous entraîne au milieu d'une équipe pluridisciplinaire afin de percer le mystère de ces "desert kites" dans ces régions du monde si riches en symboles. En effet l'équipe de chercheurs visite les contreforts du mont Ararat, là où Noé trouva terre jadis; puis le désert jordanien non loin de Petra, les terres arides du Kazakhstan, et tant de régions reculées en "zones blanches" ! Le talent de la scénariste est justement de nous immerger dans cette équipe avec chacun sa spécialité et voir ce brainstorming à l'oeuvre sur le terrain. Chacun apporte son savoir lors d'une découverte quelconque et cette cohésion permet d'avancer sur cette énigme de constructions anciennes (voire très très anciennes) aux proportions dantesques. En imaginant plusieurs pistes, en prenant de la hauteur pour une vision globale des architectures encore visibles et en état, en creusant; faute de budgets immenses, le système D est parfois d'usage pour arriver à ses fins, l'auteure nous expose ainsi le fonctionnement de cet équipage passionné. Les difficultés du terrain sont abordées, comme la cohabitation parfois avec des pays frontaliers en guerre (Syrie), mais aussi l'aridité du désert avec l'approvisionnement en eau, les bivouacs et leur confort aléatoire, voire les repas frugaux servis. Le dessin de l'italien Nicolas Gobbi est assez détaillé, il mélange parfois scènes passés au milieu du présent pour mieux illustrer les hypothèses émises par l'équipe, cela aide grandement le lecteur dans ses représentations historiques. L'humour ponctue le récit à de nombreuses reprises et amène de la gaité, l'humeur "bon enfant" surplombe l'équipe de chercheurs, le positivisme est de rigueur. Les voir s'extasier lors de la découverte d'ossements ou fientes fossilisés, apporte un vent de fraîcheur et incorpore le lecteur dans cette quête. Un ouvrage sympathique qui permettra aux intéressés de mieux comprendre le travail des archéologues et les conditions dans lesquelles ils sont plongés.
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    • Une histoire critique des États-Unis
      Note :
      Que j'aimerais qu'un historien français se penche sur les manuels scolaires français comme l'a fait James W. Loewen ! De Christophe Colomb, en passant par les fameux "pères fondateurs", la guerre de sécession, jusqu'à la guerre froide et de nos jours, il décortique 500 ans d'un oeil acéré empreint de véracité. En prenant un à un les différents ouvrages scolaires abordant l'histoire américaine, il aborde chapitre par chapitre les moments clés du pays. Le vocabulaire employé au détriment d'un autre, l'orientation "choisie" des rédacteurs de ces livres sur le choix des docs et autres photos ou même déclarations de personnalités illustres, tout ceci est balayé d'un revers de main avec de nombreuses sources par l'historien. Le problème étant l'interprétation donnée, qui va se diffuser dans l'esprit des écoliers et façonner leur vision du monde, l'auteur pique là où ça fait mal, vous n'êtes pas au bout de vos surprises en parcourant cet épais volume ! Mieux comprendre le passé et sa retranscription présente pour expliquer les choix d'aujourd'hui ! Il aborde le lourd poids du nationalisme américain, avec ses têtes de proues, ses héros historiques soigneusement choisis par des élites. Abraham Lincoln dont la statue fière et gigantesque dominant le national mall de Washington, ne sera pas épargné, tout comme Christophe Colomb qui n'est pas vraiment célébré au Mexique et tant d'autres figures du monde occidental ! Car au delà des Etats-unis, c'est aussi la vieille Europe qu'il vise, elle qui s'est abrogée toutes les découvertes géographiques en imposant ses héros au monde. Comment un amérindien déjà présent avant l'arrivée des espagnols, peut-il se construire et garder sa culture en lisant les manuels d'histoire états-uniennes ? Il manque indéniablement un pan de sa propre histoire bien avant les envahisseurs, présentés comme des explorateurs et/ou fondateurs. Tant de questions et de sujets passionnants vous attendent dans cet ouvrage saisissant ! Un mot sur les illustrations en noir et blanc qui s'implantent au milieu des nombreux textes, tels des docs de cours d'histoire, mais avec une sonorité bien différente 😉 .Elles aident à mieux cerner les explications, d'autant que le "scénariste" en bon prof d'histoire, souligne les passages clés de ses démonstrations pour mieux accrocher le lecteur. REMARQUABLE !
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    • Payback tome 1
      Note :
      J’avais déjà repéré ce titre depuis un moment mais sans jamais me plonger dans l’histoire… c’est un tort car l’histoire m’a vraiment marquée, je ne m’attendais pas à une partie dramatique si prononcée !

      Le récit commence par le passé tragique de Yuhan. Jeune voyou pensant être le maitre du monde, Yuhan travaille pour un receleur où il est chargé d’aller récupérer l’argent des débiteurs. Hélas ses méthodes un peu trop brutales ont eu des conséquences désastreuses : un homme acculé par le désespoir finit par poignarder son petit frère. Yuhan perdit ensuite sa mère. Se sentant responsable de ces drames, Yuhan entame alors une rédemption : travailler sans s’arrêter pour rembourser ses dettes mais aussi pour ne jamais trouver le bonheur, pour compenser tout le mal qu’il a fait.
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    • Neeting life 2 (fin)
      Note :
      On avait laissé notre héros dans un moment de suspicion ultime, il avait en effet découvert une caméra miniature planquée dans un colis. Trop tard hélas pour éviter de dévoiler certains aspects de son installation à ceux qui le surveillent. Peu de temps après, ces mystérieux prédateurs passent à l’action en entrant par effraction dans son minuscule appartement, une surprise de taille pour Kentaro à plus d’un égard !

      Avec la tension qui montait dans le 1er tome et l’étau qui se resserrait autour de Kentaro, j’avais commencé à imaginer plein de scénari mais pas celui-là !! Donc, j’ai vraiment eu une grosse surprise mais pas délirante non plus quand on y pense, j’aurais pu voir venir le déroulement… Mais l’important c’est surtout comment Kentaro arrive à gérer la situation et tout ce qu’il a prévu pour se défendre.

      La réclusion de Kentaro prend un autre tournant dans la deuxième moitié du livre amenant ainsi le personnage principal à se questionner sur des questions un peu plus existentielles. Questions qui sont finalement posées au lecteur comme si l’auteur nous poussait à trouver un sens à notre vie.

      En tout cas, en seulement 2 tomes, Neeting Life nous met face à un renouveau culturel et sociétal qui montre bien que la crise sanitaire a laissé des traces. Un manga assez intéressant à découvrir.
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    • Tu ne me connais pas aujourd'hui
      Note :
      En premier lieu, j’aurai mis le titre dans l’autre sens « aujourd’hui, tu ne me connais pas », histoire d’être dans une construction grammaticale française correcte, enfin, ce n’est pas la seule bourde du livre… D’un autre côté, j’ai vu un webtoon dont le titre est « pas mon enfant, destin ! »… Un peu de relecture ne serait pas du luxe !!

      Concernant le récit, je trouvais le synopsis intéressant avec une boucle temporelle pour sauver Ono. Il y a même une très belle originalité dans le développement en entremêlant le destin des deux personnages à travers le temps. Il y a cependant quelques petites fautes d’exécution : une explication finale pas très nette et quelques incohérences.

      Mais le plus important dans cette histoire, c’est la volonté de sauver l’autre, d’être prêt à tout pour changer le destin quitte à mettre son propre avenir en péril. De ce point de vue c’est une belle histoire. Le manga aurait sans doute mérité un peu plus de finesse pour la partie fantastique.
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    • N°6 tome 8
      Note :
      Avant-dernier tome d'une série qui n'en finie plus de se bonifier.

      On est à 200% dans l'action dans ce tome ci avec la fin de "l'attaque' et la prison et la confrontation très émouvante avec Safu. Confrontation qui donne lieu à des choix et des problématiques émotionnelles pour un Shion qui ne sait plus quoi faire. Il doit faire avec ses sentiments mais aussi avec les combats en cours.

      Un tome dense en histoire et en rebondissement qui nous montre un manga bien plus adulte que ce qu'on pouvait en attendre à la lecture des premiers tomes.

      J'ai hâte de lire la fin de la série qui vient de sortir !


       
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    • The ichinose family's deadly sins tome 5
      Note :
      Attention mister Kaizan5.... À trop vouloir brouiller les pistes, on peut finir par se perdre.

      C'est un peu la peur que j'ai en refermant ce tome 5. On a un poil l'impression que cette histoire de rêve / coma est un refuge assez facile permettant de faire des tomes, au demeurant intéressant, sur chacun des personnages (Sôta en l'occurrence), mais sans ne plus rien faire avancer du tout.

      Voir même en ne cherchant pas à expliquer quoi que ce soit et ne cherchant aucunement la cohérence.

      C'est un peu dommage je trouve. En effet, ce tome est toujours très sympa. Kaizan5 réussi encore une fois à nous passionner avec ses qualités de retranscriptions des émotions de nos personnages et sa compréhension des difficultés inhérente à la vie de famille.

      Mais on a quand même l'impression de tournée en rond. Si sur les premiers tomes c'était intriguant, sur celui-ci, on se demande plus si notre auteur maitrise vraiment son histoire.

      Ayant passé tous les membres de la famille, j'espère que le prochain va se recentrer sur ce "reve".
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    • Demon Lord, retry R ! tome 5
      Note :
      Mais pourquoi ça ne va plus vite ! Cette série est tellement bien que l'on désespère, chez moi, d'attendre à chaque fois le prochain tome.
      Et ce tome  ne fait pas exception. C'est très très bon. Fin des seconds couteaux au pays des demons et véritable entrée en lisse de notre seigneur des démons.

      La gestion de la surpuissance de notre Demon Lord est toujours très bonne... surtout que ce tome ci voit ressurgir le coté "clair" de notre seigneur démon. Celui que notre personnage principale, invoqué dans le corps du seigneur démon ne contrôle pas ! Un nouveau retournement de situation qui ravie, si besoin l'était, l'envie dévorante du lecteur de savoir la suite.

      Cette série, si on enlève l'étrange renommage au bout de quelques tomes, est vraiment sans véritable défaut et a une bonne place au sommet des Isekai.

      Vivement la suite qu'on espère rapide 😛
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    • This monster wants to eat me tome 3 & 4
      Note :
      A la fin des deux premiers je ne savais pas trop dans quel direction ce manga se dirigeait. Et bien je dois bien dire ces deux tomes ci (enfin surtout le 4) aident bien à y voir plus clair.
      Ce manga est, au final, une histoire centrée autour du mystère sur l'accident d'Hinako. Un mystère qui grandit au fur et à mesure plus qu'il ne rétréci. Surtout que la survie miraculeuse d'Hinako ne semble pas etre....

      Non je n'en dis pas plus. Ces deux tomes continue la recette qui avait marché dans les deux premiers avec un subtil mélange entre horreur et amitié. Le travail graphique pour préserver cette ambiance est bien pensé avec quelques cases nous montrant, sans plus de description, les sourires carnassier de notre sirène ou des autres yokai déguisés.

      L'histoire commençant à s'éclaircir, la suite de cette s'annonce aussi passionnante que tragique.

      Une bonne trouvaille de Meian !
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    • Rebuild the world tome 10
      Note :
      Le retour d'un de mes personnages favoris : Cheryl. La fille qui est elle aussi partie de rien mais qui a trouvé une façon de survivre en devant la chef d'un gang de jeune, bien aidé par Akira.
      Ce personnage, centrale sur ce tome 10, est vraiment à part dans la série. Elle a beau être une "jeune fille", le monde l'oblige a penser comme une adulte et à chercher la sécurité dans la protection d'Akira.
      Mais elle évolue et nous montre que ce n'est plus uniquement par instinct de survie qu'elle veut se rapprocher d'Akira.

      Ce tome est donc un peu moins dynamique que les précédents mais plus mignon. Akira commence a laisser entrevoir de faille dans sa carapace de garçon mal léché et Cheryl se rend compte qu'elle est jalouse des autres filles que voit Akira. Un petit coté shojo dans ce tome 10 en gros.

      Et c'est un des gros point fort de cette série qui ne cherche pas a se mettre dans un genre particulier mais raconte bien une histoire complète  allant du seinen au shojo en passant par le shonen.
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