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  • Salut les lecteurs !

    L'année 2024 vient de s'achever dans un déluge de recensions publiées par une équipe plus motivée que jamais, avec pas moins de 1080 critiques postées !! Passé ce record, nous souhaitons à toutes et à tous une très belle nouvelle année et du positif à revendre car le climat actuel général n'est pas des plus rassurants 😞 Janvier est le mois du festival de la BD à Angoulême (FIBD) et nous commenterons la sélection ainsi que les récompenses, même si je dois bien l'avouer, les titres choisis de plus en plus élitistes semblent bien loin de l'image du 9ème art que nous avons 😞 

    Ceci dit, nous voila lancés comme des frelons sur 2025 avec une rentrée littéraire de janvier assez riche. La très attendue suite de Gone with the wind chez Rue de Sèvres, le tome 5 de l'excellente série du Lombard La forêt du temps, un nouvel Aquablue, Jim Bishop vient clôturer son triptyque sur l'enfance avec L'enfantôme, le tome 14 des Cinq terres, un intrigant polar  Islander par Ferrey et Rouge les auteurs du réussi Sangoma, et bien d'autres encore en ce qui concerne le franco-belge !

    Pour ce qui concerne les comics, Gone du prolifique Jock, mais aussi Anzuelo de l'éditeur aux beaux livres 404comics, pendant que Panini continue de nous abreuver d'omnibus avec Immortal Hulk et le dernier concluant le run de Brubaker sur Captain America.

    La déferlante mangas n'est pas prête de s'arrêter, avec plus de 100 titres à sortir en janvier, dont les suites de Frieren, Manchuria ompium squad, Darwin's game, Kaiju n8, Chainsaw man, Boy's abyss, le tome 25 de Bluelock, le 41 de My hero academia, Leviathan deep water tome 5 et tant d'autres... Le point d'orgue sera la prochaine sortie de Gou Tanabe invité d'honneur au FIBD pour ses adaptations somptueuses des écrits de Lovecraft.

    De la BD un brin populaire comme le FIBD l'aime 😉 

  • Salut les lecteurs !

    L'année 2024 vient de s'achever dans un déluge de recensions publiées par une équipe plus motivée que jamais, avec pas moins de 1080 critiques postées !! Passé ce record, nous souhaitons à toutes et à tous une très belle nouvelle année et du positif à revendre car le climat actuel général n'est pas des plus rassurants 😞 Janvier est le mois du festival de la BD à Angoulême (FIBD) et nous commenterons la sélection ainsi que les récompenses, même si je dois bien l'avouer, les titres choisis de plus en plus élitistes semblent bien loin de l'image du 9ème art que nous avons 😞 

    Ceci dit, nous voila lancés comme des frelons sur 2025 avec une rentrée littéraire de janvier assez riche. La très attendue suite de Gone with the wind chez Rue de Sèvres, le tome 5 de l'excellente série du Lombard La forêt du temps, un nouvel Aquablue, Jim Bishop vient clôturer son triptyque sur l'enfance avec L'enfantôme, le tome 14 des Cinq terres, un intrigant polar  Islander par Ferrey et Rouge les auteurs du réussi Sangoma, et bien d'autres encore en ce qui concerne le franco-belge !

    Pour ce qui concerne les comics, Gone du prolifique Jock, mais aussi Anzuelo de l'éditeur aux beaux livres 404comics, pendant que Panini continue de nous abreuver d'omnibus avec Immortal Hulk et le dernier concluant le run de Brubaker sur Captain America.

    La déferlante mangas n'est pas prête de s'arrêter, avec plus de 100 titres à sortir en janvier, dont les suites de Frieren, Manchuria ompium squad, Darwin's game, Kaiju n8, Chainsaw man, Boy's abyss, le tome 25 de Bluelock, le 41 de My hero academia, Leviathan deep water tome 5 et tant d'autres... Le point d'orgue sera la prochaine sortie de Gou Tanabe invité d'honneur au FIBD pour ses adaptations somptueuses des écrits de Lovecraft.

    De la BD un brin populaire comme le FIBD l'aime 😉 

  • Dernières Critiques

    • Aucune tombe assez profonde
      Note :
      Les grands formats Urban se multiplient et c'est souvent pour faire la part belle à une patte graphique.

      Ce Aucune tombe assez profonde ne fera pas mentir les précédents. Si le western fantastique imaginé par Skottie Young est fidèle à ses précédents récits, c'est-à-dire délirant, ambitieux (Vouloir tuer la mort, c'est quand même balaise) et trash, le point remarquable ici est la patte graphique de Jorge Corona.

      Si vous n'aimez pas le comics new génération, plein d'emphases graphiques et d'exagération, le tout très coloré, passé votre chemin, peu importe e scenario. Par contre, si c'est un style qui vous parle, penchez-vous sur ce one shot.

      Il n'est comme nul autre. Aussi émouvant et triste que dynamique et violent. On se sait vraiment si on doit aimer notre héroïne. Si elle à le droit de réclamer un supplément de vie, au regard de toutes celles qu'elle a prises. Une finesse de scénario qui récompensera ceux qui ont pris à bras-le-corps le coté graphique.




       
      • 2 réponses
    • L'appel des bouts du monde - Une vie d'humanitaire
      Note :
      Après avoir refermé cet imposant roman graphique, on se dit que cette femme incroyable (et discrète, Joëlle étant un prénom d'emprunt) mérite amplement cette oeuvre hommage pour son dévouement à une cause aussi noble. 40 ans de sa vie dans l'humanitaire au milieu des pires zones de conflits au monde jalonnant ces années. Tout commence par le Liban en pleine guerre civile au milieu des années 70, elle va découvrir les bombes, les snipers, le total manque de moyens, la médecine de guerre etc... Viennent ensuite le Congo et le génocide du Rwanda, Haïti en pleine succession de la "dynastie" Duvalier, l'Afghanistan véritable poudrière de conflits territoriaux et religieux, bref, tous les coins chauds de la planète, elle les a vus au plus près ! Elle a traversé ces zones avec toujours le but de soigner sans aucun jugement, s'adapter aux populations locales, apprendre la langue ou des rudiments pour faciliter la communication, respecter des cultures , le tout sans jamais se plaindre ! Avec les horreurs qu'elle a vues tout au long de sa carrière, elle doit posséder de sacrés mécanismes de défense pour ne pas sombrer dans la dépression ou un état de stress post-traumatique ! Au cours de son récit, elle se livre sans ménagement faisant preuve notamment d'une grande franchise sur ses motivations personnelles. L'aquarelle de Paolo Vincenzo Castaldi retranscris à merveille cette vie d'aventures. Il adapte ses couleurs selon le climat, le contexte du pays, la luminosité et joue énormément sur les ambiances. On passera d'un quasi noir et blanc au Liban pour survoler la verdure du Congo ensuite ! La chevelure rousse en symbole du feu ardent animant Joëlle,  traverse le récit de sa jeunesse au beau milieu de ce patchwork convainquant et saisissant. Un réalisme bouleversant, vous serez littéralement à ses côtés dans le froid des montagnes afghanes ou encore dans la fournaise haïtienne. 40 années d'aventures humanitaires livrées sans concessions à travers le regard de cette femme pas comme les autres ! Elle incarne véritablement cette cause qui doit perdurer telle une lueur dans l'obscurité. Vibrant !
      • 0 réponse
    • Le maître de California Hill
      Note :
      Terra Australis, La bombe et tant d'autres oeuvres marquantes de LF Bollée, qui délaisse son éditeur Glénat pour un semblant de biographie sentant bon le farwest et le bruit des clous sur les traverses de chemin de fer ! Il aime s'inspirer de la grande histoire et y insérer un brin de romance et c'est le cas ici avec Leland Stanford le gouverneur de Californie, un personnage sombre et torturé. Membre éminent dans l'achèvement de la jonction du réseau ferré est-ouest traversant l'immensité américaine, il représente un certain idéal américain, le self made man comprenant aussi ses zones d'ombres. Dur en affaire, voire très dur, il semble aussi plus proche des chevaux que des hommes et délaisse femme et enfant au profit de sa passion équine. Un homme torturé qui va se lancer dans un bien curieux pari avec son rival, un homme d'affaires situé à l'est du pays. Tous les moyens sont bons pour gagner et il va dépenser une fortune pour parvenir à ses fins ! Le photographe Muybridge, un curieux personnage au talent prodigieux dans son domaine, va réaliser après moult essais la fameuse photographie du cheval et son jockey "lévitant" au dessus du sol, preuve parfaite que durant son galop, à un moment précis le cheval ne touche plus la terre ferme. Encore une mine d'informations pour enrichir sa culture générale avec LF Bollée, avec un récit aux allures de thriller car si le pari représente le fil rouge, d'autres histoires se mêlent et viennent perturber le quotidien des protagonistes jusqu'à cette fin dramaturge. Un scénario solide et bien construit, illustré en noir et blanc par le belge Georges Van Linthout. Il réalise des planches d'un trait réaliste tirant plus sur le gris et donne à l'histoire un sincère accent de véracité. Certaines cases semblent sortir de ces vieux appareils photo de la fin du 19ème siècle. Un travail sérieux et appliqué qui vous plongera dans ce fait historique posant les fondations du fameux cinémascope !
      • 0 réponse
    • Elsbeth et la malédiction du beau silence - Tome 1
      Note :
      Nouvelle série jeunesse sur de jeunes sorcières avec Tristan Roulot (Le Convoyeur, La forêt du temps) au scénario et un dessin d'une auteure danoise non moins talentueuse : Sarah Conradsen. On entre ici dans une version largement féminisée d'Harry Potter, avec toutefois suffisamment de différence pour ne pas nous embêter. Le scénario déroule pour le moment facilement sa trame, mais prudence, depuis La forêt du temps et Le convoyeur, je fais confiance à Tristan Roulot pour nous amener sur des terrains que l'on imaginait pas au départ. Nul doute qu'une fois encore, il nous réserve des surprises. 

      Bon le ton global de l'ouvrage est clairement orienté jeunesse, et se veut largement accessible même si les jeunes filles s'y immergeront probablement plus rapidement que nos jeunes garçons, question d'identification avec les premiers rôles féminins évidemment.

      Les dessins de Sarah Conradsen sont très propres et parfaitement adaptés au ton et au public de cette nouvelle série, pour ma part je trouve qu'il leur manque un petit quelque chose qui les distinguerait des autres productions actuelle du genre, mais je fais globalement la fine bouche car on est déjà sur quelque chose de très soigné et joli.

      Côté format on garde celui de "Elles" la précédente belle série à succès du Lombard sur la même cible, et c'est bien vu.
      • 0 réponse
    • Fils du tonnerre - Tome 1 - Thor, enfant terrible
      Note :
      Nouvelle bd jeunesse chez Le Lombard qui va cette fois-ci revisiter la mythologie nordique avec humour et aventures... Sur un ton décalé et assez contemporain, les gags et l'aventure s'enchainent au fil des 88 pages pour une lecture plaisante même pour les moins jeunes. Bon cela ne va pas forcément chercher bien loin, et les dessins sont vraiment orientés jeunesse et dessins animés, mais cela reste plaisant, surtout pour peu que vous vous soyez plonges dans les derniers épisodes de la saga de jeux video God of War 🙂

      Cette nouvelle série devrait plaire aux plus jeunes tout en leur permettant avec humour de se plonger dans la mythologie nordique. A noter que le choix d'un petit format et d'une couverture souple permet de se positionner en prix avec 88 pages pour 10.95€, et si l'on ajoute à ça un graphisme pas mal inspiré du manga, on sait à qui cela s'adresse et c'est plutôt malin je trouve.
      • 1 réponse
    • Oni - Plaisirs intimes
      Note :
      Après Sans un mot et Les mots pour le dire, nous retrouvons avec plaisir le trait doux et élégant de l'artiste italienne Elena Ominetti dans cette histoire où l'amour charnel défie le temps qui passe. Avec un scénario à quatre mains des auteurs Chaytan et Cyril Corti, ce trio nous offre l'histoire d'une jeune femme nommée Oni, dans le sud de la France lors d'un été en route vers un festival. Elle y fait la rencontre de Cyril qui va lui ouvrir les portes d'une variété de plaisirs luxurieux ! L'originalité ici viendra du fait que ces expériences sensorielles se feront tous les 10 ans jusqu'à l'âge de raison : la quarantaine 🙂 Ainsi, après un premier "jet" à leurs 20 ans déjà chaud à l'arrière d'une voiture, Oni va faire sa vie et prendre de l'expérience sexuelle jusqu'à leur nouvelle rencontre 10 ans plus tard et encore une dizaine d'années après. A chacune de ces rencontres, les deux protagonistes vont expérimenter avec leur vécu et toujours ce but d'atteindre le plaisir ultime. A 2, voire à 3, ces ébats passionnés vont les mener vers un choix final que vous découvrirez en lisant cette chronologie des sens. Le trait fin à l'aquarelle de Elena Ominetti est d'une élégance rare et dépeint les scènes torrides avec précision et des proportions "humaines" des corps. Pas de seins ou verges disproportionnés, mais un réalisme sincère au son de dialogues chauds comme la braise, chaleur d'un amour naissant !

      Un fichier pdf des premières pages ci-dessous, pour les plus de 18 ans 🙂 

      ONI.pdf
      • 0 réponse
    • La quête - Tome 2 - La zad du roi pêcheur
      Note :
      Et hop ni vu ni connu, voici le second tome de cette fable arthurienne ramené dans une époque contemporaine. Il y a du fable et du don quichotte dans cette aventure fantastique ancrée dans notre réel qui explore pourtant les façons de le ré-enchanter. Certes l'ensemble est moins poussé et est rendu plus accessible à un lectorat plus jeune, mais l'ensemble fonctionne bien.

      Les dessins de Wauter Mannaert ne sont peut être pas dans le style que je préfère, mais ils sont efficaces et rendent l'aventure agréable à lire. Je ne sais pas encore où le scénario de Frédéric Maupommé nous emmènera, mais il en profite pour explorer des thèmes qui nous sont communs, entre destins, actualité, et liens parents/enfants.

      Le premier tome avait été plutôt très bien reçu, et je ne doute pas que ce second tome le sera aussi, tant il s'inscrit dans la continuité directe. La quête est une jolie lecture à proposer à nos jeunes ados en quête parfois d'un peu de merveilleux dans le quotidien. 

       
      • 0 réponse
    • La chandelle du bon roy Henri
      Note :
      Eh eh eh que j'aime bien cette bd et cet angle de vue, qui laisse la part belle au côté ripailleur et franchouillard de nos Français préférés. La chandelle du bon roy henry est une bd qui avec beaucoup d'humour revient sur une petite histoire de France, qui eu pourtant son importance. Au delà de la plongé rafraichissante dans ce Paris de la fin du XVIème siècle, on s'attache rapidement aux personnages et aux péripéties. Certes cet ouvrage ne restera probablement pas tant dans nos mémoires que comme un vrai bon moment de lecture plein de détente et de bonne humeur. L'humour y est en effet plutôt présent, et les drames, plutôt rares. On est sur de la galéjade facile et pleine de gouaille, et tant mieux. Le dessin d'Eric Hubsch s'y prête justement à merveille avec ces personnages tout en bonhommie. On aurait probablement aimé un peu plus de décors d'époques plus détaillés, mais sincèrement ce n'est pas tant le sujet ici. 
      • 0 réponse
    • Islander - Tome 1 - L'exil
      Note :
      Il était difficile de ne pas en redemander après le brillant Sangoma. Alors voir ce duo se reformer le temps d'une nouvelle mini série, cela ne pouvait que nous faire saliver. D'autant qu'entre les deux, Corentin Rouge nous a gratifié du sublime Thorgal Wendigo... Alors quand en plus on tombe sur une si belle couverture et un pitch qu'on n'a pas l'impression d'avoir déjà lu cent fois... et bien... Dur de résister. 

      Je vais lever le suspens très vite, cela n'a beau être qu'un tome 1, je ne peux que vous conseiller de vous jeter dessus. D'abord parce qu'avec 160 pages, on rentre vraiment dans le vif du sujet et on est très loin d'une simple introduction. Ensuite parce que Corentin Rouge continue d'affiner sa maitrise, les planches sont belles, certains découpages renforcent le côté spectaculaire de l'action, et une vraie attention est portée aux personnages et à leurs visages. Si en plus vous aimez les décors nordiques ou l'Islande bon, vous allez être servis. 

      Je ne vous en dirais guère plus sur l'histoire de Caryl Ferey, mais excepté si vous faites parti des climatosceptiques, et là je ne peux pas y faire grand chose, vous allez plonger en frissonnant dans ce presque futur qui  vous semblera beaucoup trop possible et proche pour ne pas vous donner de sueurs froides. Cependant il ne s'agit là que de la partie immédiatement visible de l'histoire, le reste c'est des destins et des choix humains, pour vivre, pour survivre, dans toute leur âpreté. Je me suis régalé, et je n'ai qu'une hâte : lire la suite. 

       

      Merci messieurs !
      • 2 réponses
    • La crevette
      Note :
      Ah que j'aime ce genre de bd. Zidrou y est tellement à l'aise que c'est indécent. Il n'est plus à présenter bien sûr, et son travail sur La bête nous l'avait encore confirmé, mais il excelle vraiment sur ses histoires de vies, dans la dentelle des sentiments, des joies, et des pudeurs. La crevette ne fera pas tâche dans son immense carrière, surtout qu'au dessin, Paul Salomone a trouvé la finesse parfaite pour ce genre d'histoires. Les personnages sont bien campés, les situations claires, les décors splendides tout comme les visages, cela respire la belle humanité et cela fait du bien au moral. Ce duo d'auteurs prend visiblement beaucoup de plaisir à travailler ensemble, eux qui s'étaient déjà retrouvés le temps de nous faire Celle qui fit le bonheur des insectes.

      On se régale, du début à la fin, car même avec un scénario tout convenu, voir même parfois évident du début à la fin, on prend du plaisir à lire et à tourner les pages, à se plonger dans ce monde là, à profiter de cette poésie de sentiments et de jolis mots. 

      Je vous dis un grand merci, et chapeau aux éditions du Lombard car c'est décidément une très belle bd, même si elle manquera peut être un peu d'originalité pour nous marquer encore plus fort et recevoir des prix, les lecteurs la refermeront avec plaisir, et s'y replongeront de temps en temps avec délectation.
      • 3 réponses
    • Papy Boulet
      Note :
      Le monde a tellement changé en 25 ans que les BD intergénérationnelles sont assez nombreuses et un sujet peut être un peu trop facile.

      Attention "facile" ne veut pas dire non efficace et mal fait. Si vous n'avez pas ce genre de BD, celle-ci cochera toutes les cases :

      Grand Père bourru campagnard avec petite fille hyper connectée au fort caractère.


      Découverte de la "vie de la campagne" / vie hyper connectée


      Découverte de mac Do / cuisine maison


      Découverte du fait que les personnes âgées sont des humains comme les autres / les jeunes ne sont pas si bêtes




      Le tout porté par une vraie et belle performance graphique, pleine de couleur et de bonne humeur. Bref une bd qui remonte le moral et incite à se tourner vers les autres et à les comprendre.

      Mais une bd que j'ai l'impression d'avoir déjà lu. Même si c'est vrai que je lit beaucoup de BD....
      • 0 réponse
    • Le passeur d'âmes
      Note :
      Pour une première oeuvre dans le monde du 9ème art, Johanna Taylor réussit plutôt bien son entrée ! Ce roman graphique pour adolescents mais aussi pour adultes, à la pagination conséquente, comporte de nombreux atouts. Elle prend le temps d'installer le lecteur dans ce monde à l'ambiance fin 19ème siècle, style Victorien ou similaire dans une petite ville où les revenants semblent hanter les résidences. Dorian Leith a un don lui permettant de les voir et de communiquer avec eux, voire même de les guérir de ce terrible mildiou (qui délaisse les vignes 🙂 ) ! Cette maladie se caractérise par des champignons poussant sur leur corps et si rien est fait pour les ôter ils se transforment en "banshee" et non, ce n'est pas uniquement réservé aux dames 🙂 LA question porterait donc sur l'étrange raison de leur omniprésence en ces lieux ! Pourquoi ne peuvent-ils pas rejoindre leur destination finale ?? Entre une population très méfiante à son égard, sa grand-mère spectrale condamnée à le suivre et l'aider, la rencontre d'une petite fille porteuse d'une clé bien mystérieuse au pouvoir immense, et un possible flirt, Dorian aura fort à faire pour démêler cette affaire et trouver lui aussi un semblant de paix ! Un copieux menu pour une lecture dense mais paradoxalement aux pages aérées et aux dialogues courts. Son dessin numérique s'économise les détails mais joue énormément sur les ambiances et les tons de couleurs. Ainsi les spectres passent d'un bleu transparent à un vert pâle plus inquiétant selon les moments, le tout baigné dans une obscurité profonde avec parfois de maigres lueurs. Elle réalise un très joli travail sur les lumières car il faut le dire, le fond est souvent sombre et/ou nocturne. Elle aborde des thématiques lourdes avec le deuil et la façon de le traverser, et imagine même ce monde où la mort n'est pas une fin et un repos en soi, les "fantômes" ont aussi un travail à effectuer sur eux et leurs proches pour aspirer à la paix éternelle. C'est malin, bien réalisé, un peu long parfois mais le tout est cohérent avec une fin en feux d'artifices. Car de nombreux secrets seront dévoilés sur la belle galerie de personnages composant cette jolie histoire.
      • 0 réponse
    • The one hand & the six fingers tome 1
      Note :
      Mmmhhhh Alors ok ce premier fascicule peut être acheté avec un coffret pour ranger les 6 tomes à venir. Ce qui sera quand même sympa dans la bibliothèque.

      Mais je ne sais pas. J'ai toujours pensé que le format fascicule n'était pas vraiment adapté au lectorat français. Car oui on parle bien ici d'un fascicule de 72 pages en couverture souple. 3 chapitres....

      Bon après il faut rendre à Urban que le prix et ... le même. Un harcover de 12 chapitre est à 31. Ici c'est 7.90 mais il y a 4 fois moins de contenus.

      Après j'espère que la série marchera, car c'est quand même un thriller bien sympa dont on veut diablement connaitre la suite. Un pur thriller avec un vieil enquêteur qui refuse sa retraite car un copieur commet des crimes comme ... deux précédents tueurs en série. C'est sombre (très ? ). C'est dense. Réfléchit et signé Ram V.... Mis à part le gout de trop peu, on a quasiment tous bon.

      Avec un numéro par mois annoncé, seulement 6 numéros et un coffret pour les ranger tous..... il y a de quoi réfléchir à changer ses habitudes.
      • 0 réponse
    • Le génie de Beyrouth tome 1 - Rue de la fortune de dieu
      Note :
      J'aime la BD quand elle nous permet de nous pencher sur des sujets qui sortent de l'ordinaire pour le petit européen que je suis.

      Car je dois bien vous avouer que je ne connaissais pas grand-chose de Beyrouth avant la lecture de ce premier tome. Ni du Liban d'ailleurs. SI ce n'est la de vagues news aux infos, se concentrant sur les drames et les guerres plus que sur les habitants eux-mêmes.

      J'ai donc énormément appris sur la Beyrouth des années 70. La Beyrouth symbolisant ce que les extrémistes de tout bord vendent comme impossible : Une entente entre des communautés d'origines et de religion diverses. Une entente fragile, mais une véritable vie en commun quand même. Qui montre qu'en prenant le meilleur de tous, on arrive à faire une ville dynamique et ou il fait bon vivre.

      Mais ce reportage nous montre aussi que fermer les yeux sur les signes extérieurs revient à se voiler la face et que cela peut aller très loin.

      Une descente en enfer d'autant plus dure que le dessin léger et enfantin minimise l'impact visuel de cette tragédie. 
      • 0 réponse
    • Le chant de la femme parfaite
      Note :
      Après un excellent premier tome du western le sacrifice des aigles, le scénariste Makyo nous propose un récit entre science-fiction dramatique. Une tragédie lors d'une opération militaire, pousse le héros à démissionner pour poursuivre des expériences scientifiques dans la sous-sol de sa maison. Il souffre d'un paludisme très rare et incurable et tente de survivre alors que sa compagne le quitte. A cet instant précis le scénario bascule dans une intrigue de science-fiction / fantastique surprenante par rapport au début de l'histoire. L'auteur nous emmène dans son récit assez original mais reste très évasif sur l'apparition de la femme. La lecture laisse une impression de survole de l'intrigue. Bruno Cannucciari dessine des planches dans un style très classique et réaliste. L'ensemble est de bonne qualité sur la totalité avec une belle couverture. Par contre, les traits des personnes sont trop déformés par les expressions de visages sur certain passage. 
      Ce one shot imposant avec ces 100 pages de bande dessinée trouvera son public avec une réflexion sur les relations amoureuses et la maladie au-delà de la partie fantastique autour de l’apparition d’une femme.
      • 1 réponse
    • Le fruit le plus doux tome 1
      Note :
      Je n'ai pas eu le plaisir de découvrir les univers de Gabriele Di Caro dans Les arcanes de la maison Fleury (édition Tabou) mais je commence à le regretter après avoir lu ce génialissime Le fruit le plus doux ! Que de mystères et un scénario d'une richesse telle que la classification "érotique" semble réductrice pour cette oeuvre aux multiples facettes ! Années 50, après seconde guerre donc, l'Amérique rurale et ses petites villes comme Sweetville où tout le monde se connaît, les cancans se multiplient comme la floraison dans les arbres au printemps, les couples s'interrogent, se font et se défont, bref une galerie de personnages truculents se découvre sous nos yeux. Un concours du fruit le plus doux vient comme chaque année mettre la ville en émois, faisant venir à l'occasion un journaliste en mal de scoops qui va gratter la couche de vernis de la bourgade et venir déterrer des secrets bien enfouis. Mais les apparences sont trompeuses et vous suivrez cette grande galerie de personnages, exposant leur vie et leurs secrets dans un déluge de révélations et de mystères. Plus on avance dans la lecture et plus on a l'impression de comprendre, alors que Gabriele Di Caro s'amuse avec nous et distille de nouvelles pistes scénaristiques complexifiant un peu plus l'histoire. Sachez qu'un soupçon de magie s'invite aussi ! Certains passés ont aussi une grande importance, vous le verrez dans des flashbacks disséminés à la manière d'une série tv. Pour tout vous dire, j'ai vraiment hâte de lire la suite tant la fin vous laisse pantois et avide de connaître le fin mot de l'histoire (ou des histoires 😉 ) . Quelques scènes érotiques ponctuent le récit mais sans gratuité ni exposition grandiloquente, elles servent, voire embellissent l'histoire. Il faut dire que le trait de l'artiste italien est somptueux. De la finesse, de l'élégance, une bonne proportion des corps, des couleurs sobres et représentatives du franco-belge dans ce qu'il produit de mieux. Un dessin frisant la perfection pour une histoire complexe aux multiples ramifications saupoudrée d'humour. En attendant la suite, bravo !

      Un pdf ci-dessous pour les plus de 18 ans 😉 

      pdf_387_4.pdf
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    • Histoires Extraordinaires
      Note :
      Après un très joli Alice au pays du chaos, l'artiste espagnol Manolo Carot revient aux manettes pour une bd format fanzine en noir et blanc nommée HistoireSEXtraordinaires 🙂 DIx histoires mettant aux prises (multiples) bien souvent un homme et une pléiade de femmes à l'appétit sexuel vorace. De prime abord, on lit ces scènettes, qui n'ont parfois ni queue ni tête, sans jeu de mot aucun, en se demandant où l'auteur veut bien nous mener, et puis, tout s'éclaire dans un final rocambolesque mais plutôt réjouissant ! Car en effet, ces histoires ont un lien qui apparaît au fil des pages dans une case ou un dialogue qui n'a rien à faire là et peu à peu le puzzle se complète pour une imbrication parfaite d'un scénario plus complexe qu'il n'y parait 😉 Certes les membres sont disproportionnés et la part belle est réservé au point de vue masculin qui bien souvent se retrouve seul à "subir" les assauts sexuels d'une meute de filles enragées, mais les rapports de force s'inversent parfois et la victime devient vraiment "victime" ! Sans trop vous dévoiler l'histoire, sachez que vous allez bien vous amuser en parcourant ces pages dans un petit format à couverture souple. Le dessin de Carot est sobre, tout en rondeur, il peine parfois à nous faire bien dissocier les visages et la galerie de personnages est importante, mais cela ne peut qu'inviter à une seconde lecture pour mieux approfondir les détails cachés ça et là. Un style manga "hentai" qui plaira aux aficionados ! A découvrir 😉 

      Un petit PDF ci-dessous, interdit aux moins de 18 ans !

      pdf_384_4.pdf
      • 0 réponse
    • Chakipu
      Note :
      C'est une bien curieuse parution dans la catalogue Jungle que ce Chakipu ! Dans un style graphique mâtiné de South park, les auteurs nous exposent sous forme de scénettes la relation ambigüe entre un ado et son chat. Le "je t'aime moi non plus" se dévoile au fil des pages avec des manigances bien souvent ridicules mais porteuses d'un message éducatif. En alternant pages BD et d'autres plus littéraires avec des petits textes explicatifs sur les intentions de Chakipu, la scénariste Sophie Souid donne de la cohérence et une fluidité dans les rapports qu'entretiennent Sylvère et son chat patibulaire mais presque ! Elle fait évoluer leurs liens selon les aléas de la vie. Ainsi, notre adolescent Sylvère se met à fréquenter une jolie fille nommée Petra, rendant Chakipu fou de jalousie car l'attention de son maître s'en trouve déportée. Il va mettre au point une série de subterfuges loufoques, aidé d'un bande de pieds nickelés à 4 pattes, pour mettre à mal cette idylle naissante. Les situations rocambolesques s'enchainent sous le trait simple et rond de Thomas Hjorthaab, illustrateur de livres pour enfants et travaillant dans l'animation. Cela se sent à travers son découpage très "dessin animé" et une expressivité des visages confondante ! Un bel exemple d'humour noir au second degré d'un chat bien décidé à utiliser ses 9 vies pour parvenir à ses fins !
      • 0 réponse

    • Tokyo cannabis tome 4
      Note :
      Ça y est, l'histoire change de braquet.

      Suite à un mensonge de son pote, Morio décide de passer à l'étage de production du dessus pour se faire de l'argent plus rapidement, pour mettre sa famille à l'abri. Mais c'est sans compter sur la police qui ressert son étau sur la Mick X.

      Ce tome quatre est centré exclusivement sur Morio, dans sa volonté de production, et sur notre enquêteur enragé et sa chasse à.... Morio justement. La famille est mise en peu en stand by même si elle ressurgit en fin de tome pour nous promettre un tome 5 tendu au possible.

      Cette montée en pression du personnage de Morio est toujours intéressante et on en vient à vraiment se demander si c'est réellement tiré d'une histoire vraie, tellement les répercutions cotés police, yakuzas, trafiquants, consommateur et vie de famille commencent à de venir démentiels.

      On bascule de plus en plus dans le thriller mettant de côté la botanique. J'ai du mal à voir comment morio pourrait s'en sortir indemne je vous avoue...
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    • Magical buffs - L'éveil de l'enchanteur polyvalent tome 1 & 2
      Note :
      Nouvelle série fantastique d'explorations de donjon chez Meian.

      Et une lecture super sympa qui se démarque par une partie mystère autour du personnage principal. Un double mystère en fait. En effet, sous couvert d'être un peureux de base, il cache (ou ne se rend pas compte) de ses réels pouvoirs. Mais ca, on l'a déjà lu.

      Ce qui ajoute au mystère, dans celui-ci, c'est déjà qu'il utilise un pouvoir lors de son combat du début seul contre le boss qu'il ne réutilise plus, mais surtout que l'on a du mal à savoir s'il ne fait pas semblant...

      Globalement, les personnages sont vraiment bien travaillés dans ce manga. Que ce soit notre petit cachotier de héros ou alors tous ceux qui l'entourent, ils ont chacun un seul trait de caractère fort (donc pas trop complexe) mais ce trait est poussé à fond et les définit entièrement. Cela aide à se faire rapidement une idée sur qui est qui et qui est de quel coté.

      On peut donc se permettre une lecture reposante et se laisser porter par les découvertes des pouvoirs (sans limites ?) de notre héros.

      Un bon début de série de détentes.
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    • Tokyo, ces jours-ci tome 2
      Note :
      Deuxième tome de la trilogie de Taiyo Matsumoto sur la vie des mangakas à Tokyo avec un tome qui s'écarte un peu de Shiozawa pour se concentrer sur le personnage Aoki et sur concept "réussite" dans l'univers du manga.

      Car la réussite n'est pas vécue de la même façon et n'est pas synonyme des mêmes choses. Certains réussissent à imposer leur style. D'autre font des compromis pour atteindre le succès, quitte à sacrifier leur vision. D'autre ne réussissent pas à gérer cette réussite, préférant le confort de la vie dans l'ombre à l'aveuglement des flashs.

      Au travers du destin d'Aoki mais aussi des auteurs que Shozawa essaye de démarcher, Taiyo Matsumoto nous dépeint un monde qui ne fait forcément envie. Mais une description qui s'approche surement plus de la vie réelle qu'un Bakuman.

      Le dessin toujours très réaliste de Taiyo Matsumoto tranche avec les codes du manga, mais ancre bien le récit dans le réel.

      Intéressant
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    • Brave bell tome 1
      Note :
      Voilà peut-être la bonne pioche de ce début d'année. Une histoire en 6 tomes particulièrement bien dessinée et au scenario qui s'annonce intéressant.

      Alors oui, les histoires de files de Yakuzas, on connait. Mais des comme celle-là, on n'en a pas vu. Car au-dessus de cette histoire "standard" de fils de yakuzas voulant venger son père est parachuté un côté fantastique plus proche des mangas de superpouvoir que de Yakuza.  Et sur ce premier tome, le mélange prend plutôt très bien au point que l'on se pose même des questions sur notre héros lui-même.

      L'autre point qui fait que la mayonnaise prend, c'est le souci apporté à l'environnement. Les seconds rôles sont énigmatiques et le contexte dense avec une mention spéciale à la banque pour Yakuzas.

      Bref un ensemble savoureux et bien dessiné pour une série que l'on espère courte, non pas à cause d'un manque de vente au Japon, mais bien parce que l'histoire ne se prêtait pas à plus long.


       
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    • Aza-Koi tome 1
      Note :
      Nouvelle romance lycéenne aux éditions Soleil, une série finie en 4 tomes.

      Masumi est amoureuse de Koichi, l’un des élèves les plus populaires du lycée. Elle rencontre un jour Haruki, un garçon plus jeune d’un an, qui va l’aider à s’assumer et à faire le premier pas.

      Résumé court certes mais qui dit l’essentiel. On suppose que Haruki va développer des sentiments pour Masumi et qu’il y aura un triangle amoureux… Un scénario classique donc mais efficace. Enfin, l’intérêt du livre ne se trouve pas là mais plutôt dans le caractère de Masumi.

      Masumi est une jeune fille naturellement séduisante, sans le vouloir, elle a un comportement qui porte à quiproquos : des poses mignonnes, un comportement parfois timide et parfois maladroit, elle est aussi pleine de bonne volonté at aime rendre service. Mais aux yeux des autres, elle passe pour une manipulatrice : elle rend service pour se faire bien voir, elle prend des poses pour aguicher et séduire… Malgré elle, elle a une mauvaise réputation et elle est la cible de nombreuses rumeurs.

      C’est le personnage qui apporte de la nouveauté et de la fraicheur à cette romance ! Mais sinon, c’est une comédie romantique agréable à lire et à regarder.
      • 0 réponse
    • Frères du Japon (édition prestige)
      Note :
      Que ce soit pendant la lecture, après ou même maintenant où j’écris cette critique, un seul mot me vient à l’esprit pour résumer mon avis : Pourquoi ? C’est la raison pour laquelle je ne mettrais pas de note à cet ouvrage.

      Si la thématique générale est bien visible puisque presque toutes ces nouvelles tournent autour de l’existence et de la mort, la narration ne peut que laisser perplexe. Chaque histoire s’articule autour d’un personnage en particulier, il y a le jeune homme qui aimerait devenir transparent aux yeux des autres pour avoir enfin la paix, le gamin qui a compris que tout le monde est voué à mourir, le vieil homme qui entame son dernier voyage en partie onirique. Et puis, il y a les autres histoires, celles qui s’orientent vers une place à trouver dans l’existence.

      Tout est raconté de façon très poétique, très philosophique ou les deux. C’est compliqué à comprendre, la lecture reste obscure, interrogative et souvent sans en comprendre l’intérêt ni le sens profond. Pourquoi ce livre ? Pourquoi ces histoires qui semblent ne mener nulle part ? Pourquoi cette plante-chien ? Pourquoi ce gorille qui fait une course de moto contre un ours ?

      Pourquoi mettre sur papier ce qui semblent être les angoisses ou interrogations profondes de l’auteur ? On sait que nous sommes dans une sorte d’introspection, d’immersion dans des métaphores mais j’aurai presque envie de dire que toutes les idées ne sont pas bonnes à partager… mais cela ne reste que mon avis…

      A noter que cette réédition est de très belle facture, un livre relié avec jaquette, un signet et un papier épais de qualité. Félicitations à Jacques Lalloz pour cette traduction qui n’a pas dû être évidente à gérer.

      Taiyo Matsumoto est un auteur connu pour ses œuvres comme Amer Béton ou Ping Pong, il a une patte graphique très intéressante et facilement reconnaissable. Quant à ce recueil, je préfère vous laisser vous faire cet avis car visiblement, je suis passée à côté !
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    • Laisse-moi te détester tome 4
      Note :
      Première épreuve importante pour la petite famille : Hazuki part en déplacement professionnel pour deux semaines !! C’est la première longue séparation qui risque de s’avérer difficile d’autant plus que les chaleurs de Naoto approchent. C’est aussi le moment où Aoi, un lycéen populaire enchaînant les relations légères et les conquêtes va vivre son premier amour qui n’est autre que Naoto.

      A titre personnel, j’aurais peut-être mis une note plus haute parce que j’aime cette série et que c’est toujours avec plaisir que j’accueille un nouveau tome. Mais il faut être objectif concernant le contenu ! Si tout se passe bien et qu’il n’y a rien à redire sur le graphisme et le scénario, on reste dans le prolongement normal de l’histoire sans grand bouleversement ni innovation.

      On rentre un peu plus dans l’analyse du lien entre alpha et omega et comment il fonctionne à distance. On découvre aussi un autre aspect au travers du personnage d’Aoi : celui de la possibilité pour un tiers de venir s’immiscer (ou non) entre deux personnes liées. En tout cas ce personnage m’a bien fait rire, surtout au début, on a le Don Juan dans toute sa splendeur ! Mais comme il fait ça avec une certaine candeur, on l’apprécie quand même !

      Je tiens à préciser que dans l’omegaverse, Laisse-moi te détester est considérée comme l’une des meilleures séries, un incontournable que l’on continuera à suivre avec le plus grand plaisir.
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